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À GAUCHE : A Man of the
Sandwich Islands in a Mask.
Thomas Cook d’après John
Webber.
© The Trustees of the British Museum.
À DROITE : Taking
Possession, Lono. Lisa
Reihana. Aotearoa, Nouvelle-
Zélande. 2017.
Reproduit avec la permission de l’artiste.
© The Trustees of the British Museum
Capitaine Cook
LONDRES—Le capitaine Cook, père des explorateurs
d’Océanie, dont l’héritage est aujourd’hui parfois controversé,
a marqué de son empreinte durable le continent. Aujourd’hui
encore, dans le travail des artistes des îles, il reste
une fi gure fantastique et indélébile, à qui on prête toutes les
allégations, les mythes et que l’on accable de la responsabilité
des aléas du cours de l’Histoire. Jusqu’au 4 août, le British
Museum présente Reimagining Captain Cook, un hommage
à ce voyageur des mers, tant commenté, et bien réel, en
évoquant sa présence grâce aux oeuvres de ces artistes des
terres australes. Michel Tuffery, Lisa Reihana ou encore Steve
Gibbs revisitent la vie et l’oeuvre de celui qui, il y a deux cent
cinquante ans, quittait la perfi de Albion pour l’inconnu.
ACTUALITÉ MUSÉES
À DROITE : Civilised #12.
Michael Cook. Australie. 2012.
Reproduit avec la permission de l’artiste.
© Michael Cook.
EN BAS À DROITE : Cookie
in the Cook Islands. Michel
Tuffery, M.N.Z.M. Aotearoa,
Nouvelle-Zélande. 2008.
Reproduit avec la permission
de l’artiste.
© The Trustees of the British Museum.
CI-DESSOUS : Manteau.
Hawaï. Milieu du XVIIIe siècle.
© The Trustees of the British Museum.