FIG. 16 (CI-DESSOUS) :
Vue de l’exposition Atea.
Avec l’aimable autorisation du
Metropolitan Museum of Art.
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Atea est bercée par le son immersif des chants
d’habitants d’Hawaï venus enregistrer au musée
des chants à l’honneur de leurs quatre principales
divinités. Ces voix d’aujourd’hui ferment le cercle
en ramenant le visiteur à Lono, la sculpture de départ,
plongé dans l’obscurité profonde de la nuit
ancestrale, et en renvoyant aux origines de la vie,
et de la lumière, qui en est sorti.
Atea: Nature and Divinity in Polynesia
Jusqu’au 27 octobre 2019
The Metropolitan Museum of Art, New York
www.metmuseum.org
NOTES
1. Cette fi gure monumentale est prêtée par le Peabody
Essex Museum, Salem, Massachusetts. Elle a été donné
par Stephen W. Phillips en 1918, qui l’avait acquis auprès
du marchand londonien William O. Oldman. Avant
d’appartenir à Oldman, la sculpture était restée pendant
plus de cinquante ans dans une maison de campagne à
Old Garden Cliff près de Gravesend , en Angleterre. Voir
Christina Hellmich, « The Pacifi c Collection in the Peabody
Essex Museum, Salem, Massachusetts », dans Pacifi c Arts, no
13/14 (juillet 1996) : p. 69-84 et 78.
2. Prêt du Field Museum, Chicago ; ancienne collection Capt.
A. W. F. Fuller (until 1958). Voir Roger Neich, « Tongan
Figures: From Goddesses to Missionary Trophies to
Masterpieces », dans Journal of the Polynesian Society,
Special Issue: Polynesian Art: Histories and Meanings in
MUSÉE À LA UNE
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