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Une peau perlée du Grassland 117 35. Malcolm Ruel, « Were-Animals and the Introverted Witch » dans Mary Douglas (éd.) Witchcraft Confessions and Accusations, Routledge Library Editions, 1970, p. 335. 26. Robert Brain, Bangwa Kinship and Marriage. Cambridge University Press, Cambridge, 1972, p. 19. 37. Fiona Bowie, « Witchcraft and healing among the Bangwa of Cameroon » dans Graham Harvey (éd.), Indigeneous Religion. A companion, Cassel, Londres et New York, 2000, p. 69. 38. Chez les Bamiléké, cette force possédait plusieurs appellations : ke, ngang, et kang cf. Louis Perrois et Jean-Paul Notué, Rois et sculpteurs de l’ouest Cameroun : la panthère et la mygale. Éditions Karthala (l’Orstom), Paris, 1997, pp. 95–96. 39. Ruel, op. cit., p. 335. 7. F. Clement C. Egerton, African Majesty. A Record of Refuge at the Court of the King of Banganté in the French Cameroons, Londres, 1938, pp. 267-268. 8. Egerton, op. cit., p. 268. 9. Il est possible que le chef ait pris la pose. 10. Northern, op. cit., p. 23. 11. Northern, op. cit., p. 117. 12. « Les caméléons sont fortement liés à la sorcellerie dans les Grassfields Grassland ; leur capacité à changer de couleur et à se fondre dans leur environnement est considérée comme semblable au pouvoir qu’ont les sorciers de se transformer en animaux la nuit tombée. Ce pouvoir, appelé finte en bamenda est partagé par le fon, dont on raconte qu’il se transforme en léopard ou en serpent et parcourt le royaume durant la nuit. » D’après Nicolas Argenti, The Intestines of the State, University of Chicago Press, 2007, pp. 129-130. 13. Certains grands animaux, comme les léopards, les éléphants, les pythons et les buffles étaient associés au pouvoir et également utilisés en guise de titres honorifiques pour les chefs. 14. Voir la légende de Portrait d’un jeune chef annotée par Frank Christol qui a aussi pris la photo ; « Chef portant un serpent autour du cou en tant que protecteur de la chefferie. Le « serpent » est fabriqué en tissu rembourré avec de l’herbe et recouvert de perles. Le vêtement fabriqué à Bamiléké est teint en bleu. Le chapeau confectionné en raphia recouvert de coton est orné d’une multitude de tiges, également en coton. À gauche, le porteur de la pipe royale. Voir 66-4386-730. » 15. Le pasteur Göhring aurait pris des photos de peaux de léopard perlées à Bambui en 1905, mais ces photos n’ont pas pu être localisées. Mentionné dans Pierre Harter, Arts Anciens du Cameroun, Arts d’Afrique Noire ; Arnouville, 1986, p. 126. 16. Cf. Laszlo Vajda, Hermann Baumann. « Bernhard Ankermanns völkerkundliche Aufzeichnungen im Grasland von Kamerun, 1907–1909, » dans Baessler-Archiv, N.F. Bd.7, 1959, p. 264. 17. Voir Harter, op. cit., p. 120, fig. 148. 18. Harter écrit : « Nous avons surtout retenu celle que nous vîmes à Bana en 1957. (…) Elle appartenait à la mafo Mbialeu, femme du fon Tchokonjeu et mère de Monteu, qui régnèrent au milieu du XIXe siècle », dans Arts Anciens du Cameroun, p. 126. 19. L. Perrois et J.P. Notué, Rois et sculpteurs de l’Ouest Cameroun : la panthère et la mygale, 1997, p. 86, fig. 15. Remarque : à la page 87, la fig. 16 de cet ouvrage illustre une autre peau de léopard perlée. 20. La « société de l’éléphant » existe sous divers noms locaux, mais les tenues sont identiques dans les différentes chefferies du Grassland. Hormis kuosi, on trouve kemdje et aka, ce dernier chez les Bangwa des hauts plateaux. 21. Lecoq, op. cit., illustrations #24 et #26. 22. Lecoq, op. cit., illustrations #24, #26, #27. 23. Egerton, op. cit., p. 186, 207 ill. #64. 24. Egerton, op. cit., p. 188. 25. Argenti, op cit. p. 132 f. 26. Lecoq, op. cit., p. 44 – 45. 27. Harter, op. cit., p. 126. 28. Harter, ibid. 29. Harter, op. cit., p. 126. 30. Martha G. Anderson et Christine Mullen Kreamer, Wild Spirits, Strong Medicine: African Art and the Wilderness, édité par Enid Schildkrout, Catalogue d’exposition. Center for African Art, New York, 1989, p. 77. 31. Les insignes d’autorité dans la région des Bamiléké pouvaient aussi appartenir à une mafo (mafwa), une femme-chef. 32. Christraud Geary, Art in Cameroon: Sculptural Dialogues, édité par Marie-Thérèse Brincard, catalogue d’exposition. Neuberger Museum of Art, New York, 2011, p. 9. 33. Lecoq, op. cit., p. 210 et Egerton, op. cit., p. 230. 34. Lecoq op. cit. p. 60. FIG. 16 : Tabouret à cariatide de chef/léopard. Bamiléké, Grassland, Cameroun. Bois. Ethnologisches Museum, Berlin, inv. #III C 21058. © BPK/ Ethnologisches Museum, Staatliche Museen zu Berlin.


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