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FIG. 1 : Exposition des acquisitions de 1912 au Penn Museum. Photographe inconnu, 1913. Avec l’aimable autorisation de l’University of Pennsylvania Museum Archives (UPMA), négatif 22446. 100 Lors de la conférence TED de 2011, le directeur du British Museum, Neil MacGregor, commença sa réflexion par l’affirmation suivante : « Les choses que nous créons ont une énorme qualité : elles vivent plus longtemps que nous. Nous mourons, elles survivent. Nous n’avons qu’une vie, elles en ont plusieurs. »1 Fidèle à cette opinion, cet article est consacré à la vie de plusieurs oeuvres congolaises acquises entre 1912 et 1924 par le University of Pennsylvania Museum of Archaeology and Anthropology. Les deux auteurs se concentrent sur différents aspects liés aux biographies et aux identités de ces oeuvres : l’essai de Yaëlle Biro explore leurs vies après qu’elles aient été emmenées hors d’Afrique, tandis que les notes de Constantin Petridis mettent en avant leur signification dans leur contexte original.2 DOSSIER Une collection pionnière : ACQUISITIONS D’ART CONGOLAIS AU PENN MUSEUM Par Yaëlle Biro. Commentaires d’oeuvres par Constantin Petridis


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