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FIG. 1 et 2 (CI-DESSOUS
et À DROITE) : Danseurs
masqués portant des
costumes d’écorce battue.
Vers 1950.
Photographe inconnu.
Archives Tribal Art magazine.
Bien que dans leurs forêts le
bois ne leur fasse pas défaut, les Komo ne sont pas
sculpteurs1. Ils confectionnent, pour leurs nombreux
rites initiatiques, différents types de fi gurines,
taillées grossièrement dans des troncs de
bananier, pour s’en débarrasser par la suite. Toutefois,
on trouve chez eux un masque unique, ou
plus exactement une paire de masques, nommée
nsembú, qui n’est exhibée qu’à une occasion bien
précise, à savoir lorsqu’est exécuté le rituel majeur
de la divination.
FIG. 3 (PAGE DE DROITE) :
Vue de détail du masque
komo en fi gure 9.
Collection privée.
Archives Tribal Art magazine.
DOSSIER
Le masque Komo :
Pièce unique, pièce qui fait unité *
Par Wauthier de Mahieu