CI-DESSUS : Masque. Lunda, Zambie. Bois. H. : 40 cm. Galerie Dartevelle. BRAFA, 21-29 janvier. CI-DESSUS : Siège de chef. Luba du Centre, RDC. Premier 20 quart du XIXe siècle. Bois et matières sacrificielles. H : 45 cm. © Congo Gallery, photo : Paul Louis. Winter Bruneaf, 18-22 janvier. CI-DESSUS : Porteuse de coupe. Yoruba, Nigeria. Vers 1860. Bois. H. : 16,8 cm. Galerie Bernard de Grunne. BRAFA, 21-29 janvier. CI-DESSUS : Bouclier. Peuples du cours moyen de la Cross River. Nigeria, Cameroun. Fibres végétales et bois. H. : 50 cm. © Galerie Patrick & Ondine Mestdagh, photo : Paul Louis. Winter Bruneaf, 18-22 janvier. À DROITE : Sculpture masculine. Lobi, Burkina Faso. Bois. H. : 85 cm. Ex-coll. : Carlo Monzino, Castagnola, Suisse. Galerie Serge Schoffel. BRAFA, 21-29 janvier. CI-DESSOUS : Statue. Baulé, Côte d’Ivoire Bois. H. : 57 cm. Collection Ernest Roethlingshoefer, Bâle (Suisse), vers 1960. © Galerie Didier Claes, photo : Studio P. de Formanoir – Paso Doble. MARCHÉ de l'art L’hiver bruxellois BRUXELLES−Pour chaque fois plus de collectionneurs, l’année tribale démarre dans le quartier bruxellois du Sablon, avec le coup d’envoi du Winter Bruneaf, « frère cadet » né en 2011 du salon éponyme de juin. Cette édition 2017 ne fera pas exception à la règle et les amateurs sont d’ores et déjà convoqués, du 18 au 22 janvier, par la trentaine de marchands internationaux spécialisés ayant déjà confi rmé leur participation à une édition où les arts d’Afrique auront la part belle. Deux expositions ont déjà été annoncées : l’une sera dédiée aux emblèmes de pouvoir du Congo et pourra être admirée dans la Congo Gallery, dont les accrochages sont toujours une expérience aussi stimulante pour les yeux que pour l’intellect, tandis que l’autre, proposée par la galerie Aboriginal Signature sous le titre Empreintes éternelles, présentera des peintures aborigènes du désert central d’Australie. Winter Bruneaf précèdera de peu l’autre grand événement hivernal belge qu’est la BRAFA (Brussels Art Fair), un salon généraliste d’excellence dans lequel l’art tribal a trouvé une place de choix. En effet, au fi l des années le nombre d’exposants spécialisé dans les arts d’Afrique, d’Océanie, d’Asie et des Amériques n’a cessé d’augmenter. L’édition qui se tiendra du 21 au 29 janvier verra le retour de la galerie Bernard de Grunne, dont la
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