157 (1916-1919) fondée par Pierre-Albert Birot à laquelle collaborait Guillaume Apollinaire depuis 1916, qui luimême avait fondé Les Soirées de Paris (1912-1914). 14. Lettre de 1917 (DOCOR 2011.0.63 (D.0.065.Ms), Archives Paul Guillaume, Fonds Alain Bouret, musée de l’Orangerie. 15. Les légendes des oeuvres parues dans ce premier traité d’esthétique sur les arts nègres furent en effet établies bien plus tard par Jean-Louis Paudrat. 16. Après le décès du poète, Paul Guillaume consacrera toujours des articles sur le sujet dans les Arts à Paris. La grande exposition de la Galerie Devambez en 1919 et la Fête nègre au théâtre des Champs-Elysées au retentissement international témoignent du chemin parcouru. Pl. XXIII. Collection Paul Guillaume. MASQUE A QUATRE FACES, appelé M’Bol, provenant du Haut –Djaddié (Gabon), race pahouine. Sert aux manifestations du N’Gui, association secrète de toutes les castes aristocratiques du Haut Gabon (Pahouins, Bacotas, Bacoulis). Cet esprit entretient la puissance par le meurtre, la terreur, les menaces. Pl. XXIV. Collection Paul Guillaume. MASQUE A DEUX FACES, appelé Angoumba, provenant des rives, de l’Abongha (Como-Gabon). Race pahouine ; tribus Essissones. Utilisé dans les cérémonies du Tam-Tam et à l’occasion de certaines danses spéciales, nommées par les indigènes Nagedjones, effectuées les nuits de pleine lune, et auxquelles les femmes n’assistent pas. Pl. XIX. (Voir fi g. 8). Pl. XX. Collection M. de Vlaminck. STATUE DU SOUDAN. Pl. XXI. « KENIE », grand fétiche des cultures chez les «Tomas» (Haute-Guinée). Les Tomas lui demandent aussi le succès dans leurs entreprises et la gloire dans les combats. Pl. XXII. DIVINITÉS «TIKI » des Iles Marquises.
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